Comme lors de nombreuses crises politiques (gilets jaunes, réforme des retraites, des émeutes suite à la mort de Nahel à Nanterre, grève contre la vie chère en Martinique), les mêmes méthodes sont employées en Kanaky par Macron et son gouvernement : mépris de l’histoire et des personnes, prétention à l’omniscience, refus de prendre en considération les alertes des connaisseurs des dossiers et in fine, la réponse martiale et la pénalisation du mouvement social comme seules propositions.